08/05/2015

You know what my freedom means to me

Dans ma quête de films "frisson" récents, et que je ne connaissais pas encore, j'ai découvert "Les âmes silencieuses". En fait, j'ai été biaisée dès les premières secondes par la musique, puisque tourne quasi en boucle "Cum On feel the Noize" de Slade (utilisé pour empêcher l'héroïne de dormir).


Il y a quelques années, j'ai failli les voir sur scène. J'avais mon billet, j'étais la plus heureuse du monde (même si le groupe ne se produit plus avec Noddy Holder), et quand j'ai appris que ça avait été annulé... Ça m'a brisé le cœur. J'attends désespérément qu'un date soit de nouveau prévue, ce qui me permettrai de rayer un nom supplémentaire à ma liste de concerts rêvés (car oui, j'ai une liste). J'embarquerai ma mère, évidemment, vu que c'est elle la fan à la base. Il y a quelques semaines, en bas de ma rue était organisée une brocante, et j'y ai trouvé des vinyles de Slade que je lui ai offert. Même si mes parents n'ont plus de platine, les objets en eux-mêmes lui ont fait plaisir (et ça lui a même donné l'idée d'acheter de quoi les écouter). Ce groupe est un des plus fortement lié à mon enfance, le genre qui me fait replonger dans de vieux souvenirs, qui peut me donner envie de pleurer en trois secondes, tout comme A-Ha, Billy Joel, Bonnie Tyler, Creedence Clearwater Revival ou encore Cat Stevens.


Les titres sont volontairement mal écrits, car le groupe adorait provoquer et choquer le monde. Quand on pense que ma mère les trouvait sublimes, à l'époque... Ça me fait bien rire!

*Look Wot You Dun - Slade

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